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Politique

Spatial russe : Vladimir Poutine visite le cosmodrome civil Vostotchny, en Sibérie

Vladimir Poutine s’est déplacé au cosmodrome Vostotchny, le 3 septembre 2021, afin d’évaluer l’avancement de la construction d’un complexe de lancement universel pour les lanceurs Angara, sur lesquels repose l’avenir spatial de la Russie.

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RT FRANCE

Vladimir Poutine s’est déplacé au cosmodrome Vostotchny, le 3 septembre 2021, afin d’évaluer l’avancement de la construction d’un complexe de lancement universel pour les lanceurs Angara, sur lesquels repose l’avenir spatial de la Russie.

«Vladimir Poutine s’est familiarisé avec l’avancement de la construction de la deuxième partie d’un complexe de lancement universel pour la famille de fusées Angara, comprenant des lanceurs des classes lourdes et super-lourdes», a écrit ce 4 septembre sur les réseaux sociaux le patron de Roscomos Dimitri Rogozine, au lendemain de la visite de Vladimir Poutine au cosmodrome Vostotchny, dans le sud-est de la Sibérie.

Comme le rapporte l’agence de presse Tass, le président russe est arrivé sur les lieux le 3 septembre soir, après avoir participé au Forum économique oriental de Vladivostok, un événement dédié au développement du potentiel de la région, notamment avec la construction d’infrastructures énergétiques, industrielles mais aussi touristiques.

«Le président a inspecté le cosmodrome depuis un hélicoptère, puis il a visité le poste de commandement et le chantier de construction du complexe de lancement des fusées lourdes Angara», peut-on lire dans un communiqué du Kremlin relatant le déplacement du chef d’Etat russe à Vostotchny.

Plusieurs images de la visite de Vladimir Poutine dans le cosmodrome ont été partagées sur les réseaux sociaux par l’agence spatiale russe. Angara : des fusées sur lesquelles repose l’avenir spatial russe.

Angara : des fusées sur lesquelles repose l’avenir spatial russe

Comme le souligne Roscosomos sur son site, la création du cosmodrome civil russe Vostotchny remonte à 2007, et les travaux de construction se sont déroulés en deux phases. La première fut consacrée à la mise en place d’un complexe de lancement universel pour les lanceurs Soyouz-2, de 2012 à 2016. La deuxième comprend la construction d’une rampe de lancement pour les lanceurs Angara-A5, dont un premier décollage depuis le site est prévu pour 2023. Les lanceurs Angara appartiennent à une famille de fusées développée par la Russie depuis la chute de l’Union soviétique. Ce programme de développement est destiné à remplacer les vieillissants lanceurs Proton, dont la technologie remonte aux années 1960. Cette famille de fusées fait recourt à une propulsion par mélange de kérosène et d’oxygène liquide, beaucoup moins polluant que les ergols toxiques utilisés pour les lanceurs Proton.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/90268-spatial-russe-vladimir-poutine-visite-cosmodrome-civil-vostochny-siberie

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«Macron démission» : accueil houleux pour le président à Marseille

A son arrivée à l’Hôtel de Ville de la cité phocéenne, le chef de l’Etat a essuyé sifflets, huées et slogans hostiles, malgré le dispositif de sécurité mis en place. Cette visite intervient dans un climat sécuritaire local particulièrement dégradé.

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A son arrivée à l’Hôtel de Ville de la cité phocéenne, le chef de l’Etat a essuyé sifflets, huées et slogans hostiles, malgré le dispositif de sécurité mis en place. Cette visite intervient dans un climat sécuritaire local particulièrement dégradé.

Attendue, la visite d’Emmanuel Macron à Marseille a débuté dans une ambiance tendue ce 1er septembre. Reçu par le maire de la ville, Benoît Payan, le président a été accueilli par les sifflets et huées de certains citoyens. «Macron démission», pouvait-on également entendre en toile de fond d’une séquence publiée sur les réseaux sociaux par BFM TV.

Des politiques dénoncent un coup de communication

A quelques encablures de la présidentielle de 2022, la visite d’Emmanuel Macron n’a pas manqué de susciter de nombreux commentaires politiques. Si certains, comme Christian Estrosi, estiment qu’elle est de bon augure, des figures du RN dénoncent un coup de communication. Plusieurs figures de droite ont dénoncé le 1er septembre «l’insécurité» à Marseille, tandis que la gauche a demandé «plus de moyens» pour la cité phocéenne, où Emmanuel Macron doit annoncer un plan de remise à niveau de la deuxième ville de France.

Le volet sécuritaire concentre notamment les inquiétudes : avec 156 points de deal recensés à Marseille en février par le quotidien local La Provence (sur les 220 que compte le département), soit «deux fois plus que des bureaux de poste», Marseille est gangrénée par le trafic de drogue qui génère des sommes considérables : jusqu’à 80 000 euros par jour dans la cité des Oliviers. Le 18 août, un tireur arrosait de balles de Kalachnikov un point de deal, abattant un adolescent de 14 ans. Depuis, trois personnes ont été tuées, portant à 15 le nombre des victimes des règlements de compte depuis le début de l’année, dont 12 au cœur de l’été.

Plus récemment, le 31 août, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé le lancement d’un opération antidrogue au lendemain d’un reportage de Quotidien. Le reportage montrait des individus que Quotidien dépeignait comme des contrôleurs de points de deal de la cité des Flamants. «Vous voyez Macron ? Les Français lui obéissent. Bah ici c’est pareil, les gens qui veulent rentrer dans le quartier ils nous obéissent», peut-on entendre de la bouche d’une des personnes interviewées.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/90196-macron-demission-accueil-houleux-pour-president-marseille

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Actualité

Guinée : l’ONU appelle à la libération d’Alpha Condé après un coup de force militaire

En Guinée-Conakry, des putschistes ont déclaré avoir capturé le président Alpha Condé et ont affirmé «dissoudre» les institutions ce 5 septembre. Le ministère de la Défense a pourtant affirmé que l’attaque contre la présidence avait été repoussée.

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Photo: AFP via RT France

En Guinée-Conakry, des putschistes ont déclaré avoir capturé le président Alpha Condé et ont affirmé «dissoudre» les institutions ce 5 septembre. Le ministère de la Défense a pourtant affirmé que l’attaque contre la présidence avait été repoussée.

La situation était encore confuse à Conakry, le soir du 5 septembre : des putschistes ont affirmé dans la journée avoir capturé le chef d’Etat, tandis que le ministère guinéen de la Défense a assuré que cette attaque des forces spéciales contre la présidence avait été «repoussée».
 
Ce même jour, les officiers des forces spéciales qui ont affirmé avoir capturé Alpha Condé ont annoncé l’instauration d’un couvre-feu dans tout le pays «jusqu’à nouvel ordre», ainsi que le remplacement des gouverneurs et préfets par des militaires dans les régions. Dans un second communiqué lu dans la soirée à la télévision nationale, ils ont aussi dit convoquer les ministres sortants et les présidents des institutions à une réunion le 6 septembre à Conakry.
 
 
En tout état de cause, le chef de l’ONU António Guterres a «condamn[é] fermement toute prise de pouvoir du gouvernement par la force» dans le pays et appelé «à la libération immédiate du président Alpha Condé», en fin d’après-midi.

Plus tard dans la journée la France, par la voix de son ministère des Affaires étrangères, a elle aussi appelé à la libération «immédiate et sans condition» du président guinéen et condamné la «tentative de prise de pouvoir par la force». Paris demande également le «retour à l’ordre constitutionnel», a fait savoir le porte-parole adjoint du Quai d’Orsay.
 
 
Le président de l’Union africaine – et président de la République démocratique du Congo – Felix Tshisekedi et le chef de la Commission de l’organisation Moussa Faki Mahamat ont de leur côté enjoint dans une déclaration commune le Conseil de paix et de sécurité de l’UA à se réunir d’urgence pour examiner la situation et prendre les mesures appropriées. Les putschistes disent avoir capturé le président Condé Selon la Défense guinéenne, les insurgés ont «semé la peur» à Conakry avant de prendre la direction du palais présidentiel, et «la garde présidentielle, appuyée par les forces de défense et de sécurité, loyalistes et républicaines, ont contenu la menace et repoussé le groupe d’assaillants».
 
 
Les putschistes ont eux déclaré avoir capturé le président Alpha Condé et projettent de «dissoudre» les institutions.
 
 
«Nous avons décidé, après avoir pris le président, qui est actuellement avec nous […] de dissoudre la Constitution en vigueur, de dissoudre les institutions. Nous avons décidé aussi de dissoudre le gouvernement et la fermeture des frontières terrestres et aériennes», a déclaré le chef des forces spéciales, le lieutenant-colonel Mamady Doumbouya, au nom d’un «Comité national du rassemblement et du développement», au côté de putschistes en uniforme et en armes. 
 
 
 

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Actualité

Vaccin, Macron : Raoult en direct avant son départ de l’IHU

Sur le plateau de TPMP, Didier Raoult, qui s’apprête à céder sa place de directeur de l’IHU, a relativisé «la durée d’efficacité» des vaccins anti-Covid, tout en défendant le fait qu’ils contribuent «à une protection d’une partie de la population».

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Photo: RT France
Sur le plateau de TPMP, Didier Raoult, qui s’apprête à céder sa place de directeur de l’IHU, a relativisé «la durée d’efficacité» des vaccins anti-Covid, tout en défendant le fait qu’ils contribuent «à une protection d’une partie de la population».
L’infectiologue marseillais Didier Raoult, qui quittera ce 31 août ses fonctions de directeur de l’IHU Méditerranée Infection, était invité à s’exprimer sur la crise sanitaire dans l’émission Touche pas à mon poste sur C8. Habitué des sorties-choc, le professeur a remis le couvert dès le début de l’émission, en réagissant – alors qu’il pensait être hors antenne – aux échanges précédant son intervention : «Je ne participe pas à des débats comme ça. Je ne parle pas avec les dingues.»
«Dès qu’on a une nuance on est vu comme un anti-vax»
Evoquant une possible troisième dose de vaccin, le professeur de 69 ans, a fait valoir son point de vue : «Il y a trop de passion et pas assez de connaissances […] ces vaccins n’ont pas du tout la durée d’efficacité que les uns et les autres pouvaient espérer». «En réalité, il y a une dégradation de leur efficacité assez grande, et comme en plus de ça ils n’ont pas une efficacité aussi bonne sur les variants que sur la cible primaire sur laquelle ils avaient ciblé, bien entendu ça pose une question sur la durée d’efficacité de la vaccination», a-t-il développé.
Dire que le bénéfice est plus important que le risque, ce sont des choses raisonnables
Le Premier ministre Jean Castex avait en effet annoncé le 26 août que les résidents d’Ehpad pourraient recevoir une troisième dose de vaccin à partir du 13 septembre. Les plus de 65 ans et les personnes présentant des comorbidités pourront dès le 1er septembre, reprendre rendez-vous pour cette dose de rappel, jugée nécessaire par le gouvernement car «la protection vaccinale chez certaines personnes – les plus fragiles, les plus âgés – baisse».
Sur C8, l’infectiologue médiatique, connu pour sa défense de l’hydroxychloroquine comme traitement contre le coronavirus, a voulu nuancer les débats autour de la vaccination : «Je n’ai jamais prédit l’avenir mais ce que j’ai dit je le maintiens, le vaccin contribue à une protection d’une partie de la population. Mais ce n’est pas une baguette magique notamment avec la variabilité des vaccins à ARN», a-t-il avancé. Selon lui, il y a «trop de gens qui voudraient que cela ne marche pas du tout, d’autres qui voudraient que cela marche absolument». «J’ai vu cet affolement, j’ai vu cette passion, dès qu’on a une nuance on est vu comme un anti-vax. Dire que le bénéfice est plus important que le risque, ce sont des choses raisonnables», a-t-il synthétisé.
Raoult s’exprime sur sa relation avec Macron
Didier Raoult a par ailleurs été amené à s’exprimer sur sa relation avec le président de la République, qu’il avait rencontré en avril 2020, au début de la pandémie de coronavirus. Expliquant qu’il appelait «une fois par semaine» l’un de ses conseillers, avant que ce dernier ne soit remplacé, Didier Raoult commente : «J’ai essayé de […] faire passer [à Emmanuel Macron] des messages que je considère comme essentiels pour le pays…»
«La politique, je considère que c’est compliqué, que ce n’est pas mon métier […] Le président fait ce qu’il peut mais, de toute manière, je ne voudrais pas être à leur place parce que ce n’est pas mon métier, je ne sais pas le faire, c’est multifactoriel», a encore affirmé le professeur, concluant : «La politique c’est l’Histoire qui la juge. La science il faut un peu de temps ; ça ne se fait pas sur un plateau télé.»
Ce 31 août, Didier Raoult quittera la tête de l’IHU Méditerranée infection. Ayant atteint l’âge de la retraite, le microbiologiste n’a pas été prolongé par la nouvelle direction de l’AP-HM (Assistance publique des hôpitaux de Marseille). Son nouveau directeur-général, François Crémieux, a d’ailleurs fait connaître sa volonté de «tourner la page» Didier Raoult à la tête de l’institution marseillaise, en raison selon lui de l’âge du professeur. «Par ailleurs, j’ai des désaccords de fond avec lui, sur la vaccination notamment», a néanmoins ajouté François Crémieux dans des propos rapportés par L’Obs.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/90159-efficacite-vaccin-relation-avec-macron-didier-raoult-tpmp-hanouna-avant-quitter-ihu-marseille

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