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International

La France a-t-elle utilisé un logiciel américain de reconnaissance faciale ?

Selon le site américain BuzzFeed, une vingtaine de pays dont la France ont eu recours à la technologie controversée de reconnaissance faciale de la société américaine Clearview AI. Des accusations démenties par les autorités françaises.

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Selon le site américain BuzzFeed, une vingtaine de pays dont la France ont eu recours à la technologie controversée de reconnaissance faciale de la société américaine Clearview AI. Des accusations démenties par les autorités françaises.

Dans un article publié le 25 août dernier, le site américain BuzzFeed dresse la liste de 88 organisations de maintien de l’ordre ayant eu recours à des degrés divers à la technologie controversée de reconnaissance faciale de Clearview AI. Ces organisations sont affiliées aux gouvernements de 24 pays hors Etats-Unis, dont la France. Les autorités françaises démentent l’usage de Clearview, alors que la CNIL et les institutions européennes sont en train d’étudier une possible violation du Règlement général sur la protection des données (RGPD) par ce logiciel.

Clearview AI est une start-up new-yorkaise qui se base sur plus de 3 milliards de photos extraites de sites web et de réseaux sociaux – notamment Facebook, Instagram, LinkedIn et Twitter – afin de permettre à ses utilisateurs de récolter en quelques secondes des données sur un individu en disposant simplement d’un cliché de son visage. Comme le rappelle Le Monde, Clearview AI a été à ses débuts financé par le multimilliardaire Peter Thiel, fondateur de Palantir – une entreprise spécialisée dans le Big data – et membre du conseil d’administration de Facebook.

Clearview AI a affirmé que son application était efficace à 100 % dans le cadre de documents fournis aux forces de l’ordre, mais BuzzFeed assure avoir vu le logiciel identifier des personnes de manière erronée.

14 000 recherches auraient été effectuées dans 24 pays

Les données analysées par BuzzFeed montrent, en date du mois de février 2020, que des services de police et des ministères de l’Intérieur, mais aussi des parquets et des universités du monde entier ont effectué près de 14 000 recherches avec le logiciel de Clearview AI, dans des pays tels que le Royaume-Uni, l’Australie, le Brésil, la Belgique ou encore… la France.

Depuis lors, certains de ces pays ont jugé illégale l’utilisation du logiciel de Clearview AI. Ainsi, à la suite d’une enquête, le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada a statué en février 2021 que Clearview avait «violé les lois fédérales et provinciales sur la protection de la vie privée» en exerçant une «surveillance de masse», comme le rapporte Le Devoir. L’instance a recommandé à l’entreprise américaine de cesser d’offrir ses services à des clients canadiens, de cesser de recueillir des photos de Canadiens et de supprimer toutes les images et les données biométriques précédemment recueillies dans le pays. Des recommandations qui n’auraient pour l’heure pas été suivies par l’entreprise. Un rapport d’enquête publié le 10 juin par le Commissariat a également accusé la Gendarmerie royale du Canada (la police fédérale du pays) d’avoir violé la loi en utilisant la technologie de Clearview AI.

Les documents examinés par site américain montrent également que Clearview AI est présent dans certains pays du Moyen-Orient tels que l’Arabie saoudite ou les Emirats arabes unis. Sur PBS, le PDG de Clearview AI, Hoan Ton-That, a néanmoins insisté sur le fait que son entreprise ne vendrait jamais sa technologie à des pays jugés «très hostiles aux Etats-Unis», en citant la Chine, la Russie, l’Iran et la Corée du Nord.

Une utilisation «probablement non conforme» à la RGPD européenne

Dans l’Union européenne (UE), Clearview AI aurait commercialisé son système de reconnaissance faciale en proposant des essais gratuits lors de conférences destinées au forces de l’ordre, où il y aurait fréquemment été présenté comme un outil permettant de retrouver les prédateurs sexuels et leurs victimes, comme le précise BuzzFeed. Interrogé sur les plus de 300 recherches qui auraient été effectuées par Interpol – l’organisation internationale de police basée à Lyon – l’un de ses porte-parole a répondu en ces termes : «Un petit nombre d’agents ont utilisé un compte d’essai gratuit de 30 jours pour tester le logiciel Clearview. Il n’existe aucune relation officielle entre Interpol et Clearview, et ce logiciel n’est pas utilisé par Interpol dans son travail quotidien».

Les instances de l’UE sont de leur côté en train d’évaluer si l’utilisation de l’outil de Clearview AI viole le RGPD, un règlement de l’Union européenne appliqué depuis mai 2018 qui constitue le texte de référence en matière de protection des données à caractère personnel et qui exige que les entreprises les traitant obtiennent le consentement éclairé des utilisateurs concernés. En juin 2020, le Contrôleur européen de la protection des données – l’organisme indépendant qui supervise l’application de la RGPD – avait déjà publié des orientations selon lesquelles «l’utilisation d’un service tel que Clearview AI par les autorités chargées de l’application des lois dans l’Union européenne serait, en l’état, probablement non conforme au régime de protection des données de l’UE».

Dans sa réponse aux questions de BuzzFeed, Hoan Ton-That a déclaré que Clearview AI avait «volontairement traité» les demandes de citoyens de l’UE pour que leurs informations personnelles soient supprimées des bases de données de l’entreprise. Il a également précisé que Clearview AI n’avait pas de contrat avec des clients au sein l’UE, en refusant de préciser quand son logiciel avait cessé d’être disponible dans l’Union.

En France, plusieurs plaintes déposées auprès de la CNIL

En France, les données publiées par BuzzFeed indiquent qu’entre 200 et 1 000 recherches ont été effectuées sur le logiciel de Clearview AI par Interpol et le ministère de l’intérieur. Un porte-parole de ce dernier a cependant déclaré au média américain qu’il ne disposait d’aucune information sur Clearview AI, bien que des données indiquent que les employés de cette administration auraient effectué plus de 400 recherches sur le logiciel.

La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) – le gendarme des données personnelles – a par ailleurs déclaré avoir reçu «plusieurs plaintes» concernant Clearview AI, qui sont «en cours d’examen». En juillet 2020, une plainte avait été déposée par la personne chargée des questions de vie privée de la start-up française Jumbo Privacy (qui propose des recommandations pour mieux contrôler l’usage de ses données personnelles) ; et le 27 mai dernier, un groupe d’ONG mené par Privacy International a saisi la CNIL mais aussi les autorités de protection des données de Grèce, d’Autriche, d’Italie et du Royaume-Uni, comme le rapportait l’AFP.

Egalement citée dans la liste des utilisateurs du logiciel de Clearview AI publiée par BuzzFeed, la police fédérale belge a réaffirmé ne pas avoir utilisé le logiciel de reconnaissance faciale, comme le rapporte quotidien belge francophone La Libre.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/90187-france-a-t-elle-utilise-logiciel-americain-reconnaissance-faciale

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Politique

Spatial russe : Vladimir Poutine visite le cosmodrome civil Vostotchny, en Sibérie

Vladimir Poutine s’est déplacé au cosmodrome Vostotchny, le 3 septembre 2021, afin d’évaluer l’avancement de la construction d’un complexe de lancement universel pour les lanceurs Angara, sur lesquels repose l’avenir spatial de la Russie.

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Vladimir Poutine s’est déplacé au cosmodrome Vostotchny, le 3 septembre 2021, afin d’évaluer l’avancement de la construction d’un complexe de lancement universel pour les lanceurs Angara, sur lesquels repose l’avenir spatial de la Russie.

«Vladimir Poutine s’est familiarisé avec l’avancement de la construction de la deuxième partie d’un complexe de lancement universel pour la famille de fusées Angara, comprenant des lanceurs des classes lourdes et super-lourdes», a écrit ce 4 septembre sur les réseaux sociaux le patron de Roscomos Dimitri Rogozine, au lendemain de la visite de Vladimir Poutine au cosmodrome Vostotchny, dans le sud-est de la Sibérie.

Comme le rapporte l’agence de presse Tass, le président russe est arrivé sur les lieux le 3 septembre soir, après avoir participé au Forum économique oriental de Vladivostok, un événement dédié au développement du potentiel de la région, notamment avec la construction d’infrastructures énergétiques, industrielles mais aussi touristiques.

«Le président a inspecté le cosmodrome depuis un hélicoptère, puis il a visité le poste de commandement et le chantier de construction du complexe de lancement des fusées lourdes Angara», peut-on lire dans un communiqué du Kremlin relatant le déplacement du chef d’Etat russe à Vostotchny.

Plusieurs images de la visite de Vladimir Poutine dans le cosmodrome ont été partagées sur les réseaux sociaux par l’agence spatiale russe. Angara : des fusées sur lesquelles repose l’avenir spatial russe.

Angara : des fusées sur lesquelles repose l’avenir spatial russe

Comme le souligne Roscosomos sur son site, la création du cosmodrome civil russe Vostotchny remonte à 2007, et les travaux de construction se sont déroulés en deux phases. La première fut consacrée à la mise en place d’un complexe de lancement universel pour les lanceurs Soyouz-2, de 2012 à 2016. La deuxième comprend la construction d’une rampe de lancement pour les lanceurs Angara-A5, dont un premier décollage depuis le site est prévu pour 2023. Les lanceurs Angara appartiennent à une famille de fusées développée par la Russie depuis la chute de l’Union soviétique. Ce programme de développement est destiné à remplacer les vieillissants lanceurs Proton, dont la technologie remonte aux années 1960. Cette famille de fusées fait recourt à une propulsion par mélange de kérosène et d’oxygène liquide, beaucoup moins polluant que les ergols toxiques utilisés pour les lanceurs Proton.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/90268-spatial-russe-vladimir-poutine-visite-cosmodrome-civil-vostochny-siberie

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Economie

Séoul contraint Apple et Google à renoncer à leur monopole sur les systèmes de paiement pour l’achat d’application

Les députés sud-coréens ont adopté le 31 août une loi qui contraint Apple et Google à renoncer à leur monopole sur les systèmes de paiement pour l’achat d’applications. Une loi similaire a été déposée aux Etats-Unis par trois sénateurs.

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Les députés sud-coréens ont adopté le 31 août une loi qui contraint Apple et Google à renoncer à leur monopole sur les systèmes de paiement pour l’achat d’applications. Une loi similaire a été déposée aux Etats-Unis par trois sénateurs.
Les députés de la Corée du Sud ont adopté le 31 août une loi interdisant à Apple et Google d’obliger les développeurs d’applications à utiliser les systèmes de paiement développés par les deux entités. Cela rendrait de fait illégaux leurs monopoles sur iOS et Android via l’App Store et le Play Store. Le projet de loi a été adopté par 180 voix pour, zéro contre.
La Corée du Sud est ainsi devenue la première puissance économique à se munir d’un tel arsenal législatif, susceptible de créer un précédent à l’échelle mondiale. Il permettra aux utilisateurs de choisir un système de paiement différent lors de l’achat d’application.
Une première mondiale qui peut faire des émules ?
«Cette loi va certainement créer un précédent pour d’autres pays, ainsi que pour les éditeurs d’applications et les créateurs de contenu du monde entier», a déclaré à l’AFP Kang Ki-hwan, de la Korea Mobile Internet Business Association.
L’adoption de ce texte survient par ailleurs à un moment où Apple et Google sont pointés du doigt en matière de commission sur les transactions réalisées sur leurs systèmes de paiement. Les deux géants prélèveraient en effet une commission de 30%.
Google avait cependant d’autres plans, selon l’AFP. Le géant du web ambitionnerait d’imposer son système de paiement à l’échelle mondiale pour les achats intégrés, en prenant toujours soin de prélever une commission de 30% au-delà d’un certain seuil.
En Corée du Sud, Google comptait aussi s’affranchir de la règle qui lui imposait de ne prélever de commission que pour les jeux en ligne afin de facturer tout contenu payant. Une annonce qui a suscité la colère des milieux artistiques, notamment des écrivains de fiction web ou des artistes de webtoons (bandes dessinées en ligne) qui ont soutenu le projet de loi.
Les géants Apple et Google réticents à un changement législatif
Du côté d’Apple et de Google, on estime au contraire que les commissions sont légitimes. Elles garantiraient notamment à tout acheteur de procéder à ses achats en toute sécurité mais aussi d’offrir de la visibilité aux développeurs. Apple avait ainsi déclaré auprès de l’AFP quelques temps avant le débat du projet de loi que ce dernier ouvrirait la voie à des fraudes mais aussi à des vols de données.
«Nous pensons que la confiance des utilisateurs dans les achats sur l’App Store diminuera après cette proposition, ce qui réduira les opportunités pour les plus de 482 000 créateurs d’applications que compte la Corée et qui ont gagné plus de 8 550 milliards de wons (6,2 milliards d’euros) à ce jour avec Apple», a déclaré le géant américain dans un communiqué.
Malgré les réticences des géants du web, les Etats-Unis semblent également prêts à débattre d’une législation semblable. Trois sénateurs ont déposé une loi visant à réguler les deux firmes dominantes et à contraindre le duopole Google-Apple à s’ouvrir beaucoup plus à la concurrence.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/economie/90176-seoul-interdit-apple-google-dimposer-systeme-paiement-pour-achat-applications

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